Enseignants, directeurs, éducateurs, parents, mouvements de jeunesse, responsables de l’Horeca, etc. Tous consultés sur cette réforme dont le point central reste, bien sûr, le bien-être de l’enfant. Pendant six mois, la Fondation Roi Baudouin a consulté des dizaines de personnes et réalisé la première étude sur ces rythmes scolaires.
Le point positif, c’est que personne ne s’assied sur le calendrier actuel, refusant de le voir évoluer. Le point moins positif, « c’est qu’il y a beaucoup de conditions d’acceptabilité, beaucoup de freins », nuance la ministre Schyns.
Résultat : « Il est impossible de décider cela dans les semaines qui viennent », reprend-elle. Ce sera au prochain gouvernement de décider une réforme qui, de toute manière, ne sera pas une réalité avant 4 ou 5 ans.